un depart tout heureux de Blue Note .

Je suis née dans West Blue sur une île appelé Las Camp. Quelques jours après ma naissance. Je ne sais exactement ce qui c’est passé mais je fus abandonné aux pieds du Mont le plus haut, qui était à l’époque et qui est encore aujourd’hui, réputait pour être dangereuse à cause des nombreux brigands et les bêtes sauvages féroces qui y résident. Mais parmi toutes ces personnes effroyables et sans cœur, se trouva un homme nommé Igneel. Lorsqu’il revînt de sa chasse habituelle il me vit dans un landau tout abimé en bas de la montagne. Débordant de pitié et d’affection il me recueilli dans une magnifique grotte qui lui servait d’habitation. Il m’élevait comme si j’étais son propre fils. Lorsque j’étais en âge de comprendre il m’apprit à lire, écrire compter et surtout à me défendre, car dans cette région la loi du plus fort règne. Il m’apprit également les meilleurs techniques corps à corps. Il me montra surtout comment frapper avec ses poings. C’est de la que sorte mes techniques : rafales punch, et bien d’autres encore. Depuis que je suis en âge de comprendre je n’ai jamais voulu retrouver mes parents, car pour moi ce sont des lâches qui m’ont abandonné sans raison valable. Lorsque j’eus 10 ans, je fus en mesure de me débrouiller seul. Alors le matin, j’allais tôt dans la partie sauvage de la montagne pour chasser du gibier, (si l’on peut appeler comme ça) car c’est bestioles étaient énormes et redoutables. Mais comme j’ai était bien entrainer je ramenais de quoi manger pour le midi et le soir. La nuit tombé, l’homme que j’appelais père à présent me raconta pleins d’histoires d’aventures concernant les pirates, leurs exploits et leurs méfaits. En grandissant je m’améliorer dans tous les domaines que se soit intellectuel que physique mais j’étais comme je le suis toujours pour les activités physique. Je me spécialisai donc dans le combat rapproché. A chaque fois que je partais à la chasse, je ne pouvais m’empêcher de mesurer ma force à celles des animaux féroces. Je rapportais toujours un de plus. Mais un jour je fus fatigué de me mesurer qu’avec des bestioles du premier ordre. Alors je partis voir les brigands cachés dans la montagne pour les défier dans un duel loyal. J’entamai donc la conversation.

« Ecoutez ce que j’ai à dire. Je viens vous demander une faveur accepterai vous ? »

Ne connaissant pas ma faveur ils se mirent tous à rire aux éclats car ils étaient connus comme des monstres au cœur de glace.

« Tu connais qui nous sommes depuis le temps que tu habites dans ces montagnes. Et tu sais que nous accepterons jamais une faveur peu importe ce que c’est, car nous sommes les malfaiteurs les plus connus de tout le secteur. Nous sommes les implacables bandits de ces montagnes. »

Je passai outre leurs conseils et j’exprimai donc mon souhait :

« J’aimerai faire un duel loyal contre le plus fort d’entre vous, pour améliorer mes techniques et me perfectionner dans l’art du combat rapproché.»

Ils se mettent tous à rire et leur chef me répondirent :

« Toi ! Une vermine comme toi veut se mesurer au plus fort de la bande. Laisse-moi rire. Tu ne fais pas le poids contre nous mais laisse-moi te montrer ma générosité. J’accepte ta proposition ça ne fera pas de mal à mon subordonné de faire un peu d’exercice. »

Une soudaine joie m’envahi. Je ne sais pourquoi mais j’étais heureux à l’idée d’affronter le plus puissant d’entre eux. Mon adversaire s’approcha et nous fîmes les présentations. Il était toujours sous le choque de ma demande. Alors je profitai et me précipitai donc vers mon adversaire. Je lui infligeai donc un coup direct au visage. Le coup était si violent qu’il tomba par terre. Il se releva donc en disant :

« Désolé je t’avais sous-estimé mais compte sur moi pour ne plus faire la même erreur. »

Il s’avança vers moi d’un air calme et d’une assurance sans précédant. Il me frappa un coup de poing, je bloquai donc ce coup mais sa force était mille fois supérieur à la mienne alors son coup me projeta au sol. Je n’avais pas réalisé ce qui venait de se passer. Malgré que je fusse amoché par ce magnifique coup, je me relevai et j’en redemandai. Ma détermination était sans défaut. Voyant cela, il me dit :

« Et bien petit, t’as du cran je n’avais jamais vu quelqu’un de ton âge aussi déterminer que toi. Je te félicite. Tu sais quoi sans te décourager, tu es encore trop faible pour me battre. Mais par contre, tu pourras venir ici tous les après-midi pour t’entrainer. Par contre je te préviens je ne jouerai pas avec toi, si tu veux t’entrainer avec moi. Tu devras penser que chaque seconde sera ta dernière. Es tu prêt à relever ce défi ?!»

Entendant ces paroles encourageantes, je fus tout contant et impatient d’être le lendemain pour pouvoir apprendre d’avantage. Le chef étant d’accord m’autorisa à venir tous les jours pour m’entrainer avec ce puissant homme. Je les remerciai donc de m’aider à devenir plus fort. Je quittai cet endroit pour retourner chez moi. Arrivé dans la grotte où nous habitions, l’homme que j’appelais père à présent me fis la remarque sur mes blessures alors je lui racontai donc toute mon aventure. Il fut content et en même temps désapprouva que je sois enseigné par des brigands. Mais je lui fis entendre raison. Donc comme prévu je partis m’entrainer durement. J’acquis de l’expérience et de nouvelles techniques. Je grandis donc dans ce milieu jusqu’au jour où Igneel disparut de la surface de la terre. Personne ne sait où il est allez. A partir de ce terrible jour tout changea dans ma vie. Ce jour là je gagnai en maturité. J’avais tout juste 12 ans lorsque que je me retrouvai seul. Comme je n’avais plus d’endroit où aller je me rendis sur la côte proche de village. En cours de chemin je m’arrêtais fréquemment pour ramasser du bois. Arrivé au village je me mis immédiatement au travail. Je construisis un radeau solide, comme me l’avait appris Igneel. Une fois ce splendide radeau presque terminé, une personne habitant le village me demanda :

« Eh petit, dis moi. Tu n’étais pas le petit qu’Igneel avait recueilli ? »

« C’est bien moi, m’sieur ! » Répondis-je.

« Et que compte tu faire maintenant ? Pourquoi as-tu construis ce bateau si on peut appeler ça un bateau?» Ajouta t-il.

« Maintenant je compte allez et parcourir le monde pour trouver des indices concernant Igneel. Et personne ne pourras me faire changer d’avis je vais partir sur ce radeau. » Lui dis-je.

« Je n’ai pas l’intention de t’empêcher, je suis trop vieux pour tout cela. Par contre attend moi là je reviens. »

Voilà que le vieil homme partis. En attendant je continuai d’améliorer ce petit radeau qui maintenant ressembler plus à une barque. Quelques minutes plus tard. L’homme qui m’avait laissé revint en apportant de quoi vivre pendant mon long voyage. Il m’apprit en même pas 5 minutes à naviguer et à prévoir la météo. Je fus très heureux d’en apprendre autant en si peu de temps. Ce que je venais d’apprendre aller me servir plus tard. Ce court moment passa très vite et ce fut l’heure des adieux.
Et au dernier moment il me dit tien un cadeau . Sa ressembler vachement a un fruit bizarre et il me dit pour la meer je t'offre se fruit et une épée . Et je lui Merci Adieux ! prenez bien soin de vous .

« Bonne chance à toi. Et fait attention car la mer est parfois très violente et sans pitié. »

« Merci vieil homme, j’espère que l’on se retrouvera un jour ! »

Sur ces mots je commençais à m’éloigner petit à petit. Maintenant j’étais déjà loin que je pouvais même plus apercevoir .
Maintenant je me diser on va manger se fruit pour voir ce qui me fait .
Puis je dit nan sa sera pour plus Tard .

Puis apres je retrouve mes copain qui me voulait absolument alors je leur dit ok on va jouer un petit moment à Las camp .

Dans ce rp . Il y a Bishop Geese et Mon pote .


"Content d'être avec vous les gars, on va bien s'marrer tous les trois ! Et bien l'merci Geese pour taleur."

"De rien camarade !"

"On fout quoi maintenant alors ?"

"On retourne chez moi pour prendre tout l'matos et puis on passe à la boutique pour renflouer les armoires."

On marche tous les trois, main dans la main, euh beh non, quand même pas ! On s'raconte nos récents exploits. Moi j'ai fait ci, moi j'ai fait ça, moi j'l'ai buté façon hardcore ainsi. A chaque petit récit, des 'oh' et des 'ah' sortent de manière inopiné. Les exploits racontés sont de plus en plus impressionnant, chacun voulant être le meilleur ! Bon, j'me surestime peut-être mais avouez quand même que j'ai été rudement infernal dans c'te Tanière. A chaque mort, je passais un niveau de cruauté. Au final, je suis le grand gagnant de notre petit concours. Logique en même temps : la seringue dans l'oeil, le vidage complet d'intestin, la torche humaine et aussi mon dernier meurtre qui était pas très sport je dois bien l'avouer. Tout ça pour dire que si je suis en vie actuellement c'est grâce à : un, mon intelligence ; deux, ma folie ; trois,mon épée; ? Ahh ... Quand j'pense que mon Pote va devenir un pirate, un vrai ! J'en ai le cœur qui palpite tiens, comme c'est excitant, vous pouvez pas vous imaginer ! Voguer sur les flots, partir en quête d'un trésor, affronter d'autres pirates et patati et patata. J'en frémis d'avance. Mais bon je ne suis pas pirate et je ne veat en devenir un ! Alors je ne pense plus a la piraterie mais a la revolution .

Cinq minutes qu'on marche et il reste encore un bon quart d'heure. Question très pertinente que j'viens d'me poser : comment on trimballe tout le bordel qu'a chez moi hein ? Comment ? Parce que si on doit faire des allers-retours maison-port bah demain matin on est cor là ! Qu'est-ce que vous croyez, j'ai pas qu'une simple éprouvette et un bidon d'acide à prendre, j'dois quasi emporter tout mon labo. Oh, mais que vois-je ? Trois charrettes attachées à des chevaux, eux même attachés a un poteau devant un bar. On est trois, y'a trois carrioles. Faites le calcul, ça fait une chacun. Parfaitement parfait ! On essaye de voler ces moyens de transport assez discrètement. Manquerez plus qu'un gang débarque tiens. On arriverait sans doute à leur péter la gueule mais évitons les ennuis, allons à l'essentiel et ne perdons pas de temps de manière inutile. On défait les cordes ... doucement ... Les chevaux ne hennissent pas, good point. Chacun grimpe et prend les rênes de son étalon.

"Bon les gars, le dernier arrivé chez moi paye un verre aux deux autres. A 5. Un .... Deux ... CINQ !"

Et c'est un départ canon de Bishop qui vient de prendre une terrible avance grâce à ce coup fourré. Et oui, il sait qu'il n'est pas un formidable pilote alors il utilise son intelligence et se sert de petite ruse. Assez prévisible tout de même. Nolan et Geese sont surpris mais c'est le bûcheron qui prend la deuxième position. Geese a du mal à se remettre, il n'était absolument pas prêt et le voila déjà à la traine. Voici venir le premier virage de ce circuit, un angle droit vers la droite.Blue note le prend trop large et dégomme un étal de fruits et légumes. Quel gaspillage ! mon pote en profite et grâce à une trajectoire parfaite, reviens à hauteur du Doc. Geese est à nouveau surpris et perd du temps en évitant les pastèques et autres ananas. C'est un duel au coude-à-coude entre les deux compères au devant de la course. Le cheval de mon pote semble avoir une meilleure accélération. Les concurrents abordent à présent le deuxième virage. C'est encore un angle droit mais cette fois-ci, à gauche. La ruelle est petite et seule une charrette est en mesure de passer. Bishop est mieux mis que mon pote et ce dernier doit ralentir afin de ne pas partir dans le mur. Ce qui fait les bonnes affaires de Geese qui recolle à la tête de course. Il semble avoir compris le système de guidage. La fin de la ruelle est proche. Les trois pilotes vont à présent déboucher dans une allée principale avec pas mal de monde. Blue Note sort de la ruelle en premier, il n'est pas en mesure d'accélérer comme il le voudrait. mon pote en profite et déboite sur la droite. Olalala, un malheureux passant se dresse en travers de la route du bucheron et le cheval de ce dernier se cabre. Voila qui fait les affaires de Geese qui poursuit Blue note. Le pauvre mon pote reprend la route tant bien que mal, je ne sais pas s'il sera en mesure de reprendre la première place, toujours tenue par le médecin du village. Page de pub !

Re le bonjour, nous sommes toujours à Las Camp, où se déroule une course formidable. Blue note toujours aux commandes, suivi de Geese et mon pote qui clôt la marche. Il n'y a aucune fenêtre de dépassement pour le moment. Je pense que le titre se jouera sur une petite faute d'un des participants. Nous arrivons actuellement à l'endroit le plus critique du parcours. Un virage serré à gauche, suivi de suite par un virage à droite, une belle chicane en perspective. C'est Blue note qui s'y engouffre le premier. La charrette bascule d'un coté, rebascule de l'autre et la force centrifuge propulse la carriole dans le mur de l'habitation, bien mal située je dois vous le confier. Une fenêtre éclate en mille morceaux, la porte, entre-ouverte, est brisée et la pauvre personne sur son paillasson d'entrée se fait rouler sur les orteils. Pauvre citoyenne. Les frottements ralentissent le chariot et Geese en profite pour remonter. Les trois pilotes arrivent à présent à la fontaine de Las Camp. Geese passe par la droite alors que Blue note prend la gauche. Choix judicieux pour Bishop. En effet, la route à prendre se situe un peu sur la gauche et grâce à sa connaissance de l'endroit, c'est le doc qui prend les devants.Mon pote a suivi Blue Note mais cela ne lui permet pas de passer deuxième. Je pense qu'il sera à présent très difficile pour lui de repasser en pôle. Oh mais non ! La route monte quelque peu et c'est bien l'étalon du barbu qui s'en sort le mieux. L'avance qu'avait Blue Note est en train de fondre. On dirait qu'il possède le cheval le moins bon du circuit. Il ne reste que quatre-cent mètres avant la ligne d'arrivée. Les trois animaux galopent aussi vite qu'ils le peuvent. On aperçoit à présent la maison de Bishop. Geese qui remonte, Mon pote qui passe par la gauche. Bishop toujours en tête à quelques secondes de l'arrivée. Bishop encore. Ouh ça va être serré. Très serré. Cent mètres. Les trois chevaux sont sur la même ligne, les trois chevaux sont sur la même ligne. Mon pote qui passe légèrement devant. Oh ! Le cheval semble avoir ripé sur un pavé et le bucheron se retrouve à la traine. Oh quel dommage ! Alors qu'il semblait partir pour l'emporter, c'est finalement Bishop et Geese qui termine ex-aequo. Quelle déception pour Mon pote qui va donc devoir payer à boire à ses camarades. C'est tout pour aujourd'hui, à vous les studios.

"Uhuhuhu, belle bataille les gars !"

"Merci d'avance l'ami."

"Foutue route de merde."

On rigole tous les trois. Ouf, un peu plus et c'était moi qui payais l'addition. Et avec ces deux buveurs là, vaut mieux avoir un portefeuille bien rempli. Un jeunot approche, qu'est-ce qu'il veut ?